- Sur l’œuvre originale, l’hermine blottie dans les bras de la dame doit être totalement immaculée, arborant une magnifique couleur blanche uniforme sans aucun défaut.
- Le faux se repère assez facilement à l’apparence de l’animal : s’il présente des taches noires autour des yeux façon raton laveur ou une fourrure grise, c’est une arnaque.
- Pour ajouter la toile royale à votre musée, guettez le stock de Rounard, car il la propose parfois sur son bateau ou dans sa caravane sur l’Île de Joe.
Je ressens toujours ce petit frisson d’excitation, mêlé à une pointe de stress, quand j’aperçois la silhouette sombre du bateau de Rounard au nord de mon île. Ce vieux roublard est de retour avec la promesse de chefs-d’œuvre… ou d’une belle arnaque ! Cette fois, c’est la fameuse toile royale qui nous fait de l’œil. Inspirée de la célèbre Dame à l’hermine, elle est sublime, mais notre renard préféré adore nous refourguer une contrefaçon contre nos précieuses clochettes.
Pas question de présenter une croûte à Thibou ! Pour agrandir votre musée sans risque, il faut l’œil d’un expert pour distinguer l’original de la copie. Ne laissez pas Rounard vous avoir : je vous explique tout de suite comment repérer la véritable toile royale pour votre collection et éviter le faux qui ne vaut rien. Rounard est malin, mais nous remplirons cette galerie d’art ensemble !

La Toile royale dans Animal Crossing : c’est quoi ?
Je dois avouer que j’ai un faible particulier pour la galerie d’art de notre île, c’est un véritable petit Louvre virtuel. La toile royale est sans doute l’une des pièces les plus élégantes que vous chercherez à acquérir. Culturellement, ce tableau est une reproduction fidèle de La Dame à l’hermine, une œuvre magistrale peinte par le génie Léonard de Vinci vers 1489. C’est une pièce fascinante qui capture toute la grâce et la subtilité de la Renaissance italienne.
Cependant, nous connaissons tous la malice de notre « ami » Rounard. Dans Animal Crossing: New Horizons, ce commerçant n’hésitera pas à essayer de vous vendre une contrefaçon de cette œuvre majeure. Votre objectif est clair, enrichir votre musée avec l’original et éviter à tout prix la copie grossière. Pour distinguer le vrai du faux, il faut observer l’animal dans les bras de la dame. Sur la version authentique, la petite hermine est d’un blanc pur et son pelage d’hiver est immaculé.
Si vous remarquez des taches grisâtres ou des cernes noirs autour des yeux de l’animal, méfiance ! C’est assurément un faux que Rounard tente de vous refiler. Il est important de rappeler qu’une telle copie n’a aucune valeur et sera systématiquement refusée par Thibou à l’entrée du musée. Pour ne pas gaspiller vos précieuses clochettes sur une toile royale frauduleuse, prenez toujours le temps d’inspecter la marchandise. Seule la véritable peinture mérite sa place parmi vos trésors.
Reconnaître la contrefaçon de la Toile royale
Ah, ce sacré Rounard ! Monter sur son bateau est toujours un moment particulier, mêlant l’envie de découverte à la peur de se faire avoir. Parmi les chefs-d’œuvre qu’il propose, la Toile royale est un grand classique. Mais attention, le risque d’acheter une contrefaçon est omniprésent avec ce vendeur peu scrupuleux. Pour ne pas jeter vos clochettes par les fenêtres, il est impératif d’observer minutieusement la toile. Le renard tente très souvent de nous duper, mais heureusement, un détail visuel ne trompe jamais.
Pour savoir si vous êtes face à une copie ou à l’original, concentrez toute votre attention sur l’animal tenu par la dame, l’hermine. Sur la véritable Toile royale, cette petite bête possède un pelage d’un blanc crème, immaculé et doux. C’est le signe indiscutable de l’authenticité. En revanche, sur la contrefaçon, l’animal change radicalement d’apparence. Rounard essaie de nous vendre un tableau où la bestiole est grisâtre, avec des taches noires autour des yeux, ressemblant davantage à un furet ou à un raton laveur qu’à une noble créature.
Ne vous laissez surtout pas avoir par ce détail ! Une Toile royale arborant une hermine grise est une contrefaçon sans aucune valeur marchande ou culturelle. Si vous tentez d’apporter ce faux à Thibou, il refusera catégoriquement de l’exposer au musée, vous expliquant qu’il s’agit d’une pâle copie. Il n’y a malheureusement pas de place pour l’imitation dans sa galerie d’art. Gardez en tête que seule la version avec une hermine blanche est digne d’intérêt.
Voici un récapitulatif clair pour identifier l’arnaque et éviter le piège :
| Détail observé | L’œuvre authentique | La contrefaçon (Faux) |
|---|---|---|
| L’animal (Hermine) | Pelage blanc immaculé (blanc crème) | Pelage grisâtre ou avec des taches noires (type raton laveur) |
| Expression du visage | Douce et sereine | Identique (pas de piège ici) |
| Validation Thibou | Acceptée immédiatement | Refusée (Arnaque) |
Même si Rounard insiste avec son stock douteux, vous savez désormais comment déjouer le piège. En scrutant bien la couleur de l’hermine, vous ne pourrez plus confondre le vrai et le faux. La prochaine fois que la Toile royale apparaît, vérifiez bien qu’il ne s’agit pas d’une arnaque pour enfin compléter votre collection au musée. Cette contrefaçon est courante, mais la vraie version finira par arriver !
L’indice visuel qui ne trompe pas
Pour distinguer l’original de la copie sur la célèbre toile royale, concentrez-vous uniquement sur la petite bête tenue par la dame, l’hermine. Sur l’œuvre authentique, cet animal possède un pelage d’un blanc pur et éclatant, du museau à la queue. C’est l’élément clé que vous devez absolument vérifier avant toute transaction.
En revanche, le faux saute aux yeux dès qu’on s’attarde sur l’apparence de la créature. Sur la version contrefaite, l’animal arbore des cernes noirs bien marqués autour des yeux, ressemblant davantage à un blaireau ou un raton laveur qu’à une noble hermine. Si la bestiole n’est pas immaculée, c’est indubitablement une copie.
Je vous recommande vivement d’utiliser le zoom de votre caméra pour inspecter ce détail de près. L’éclairage sombre du bateau de Rounard peut être trompeur, mais en gros plan, ce faux grossier ne pourra pas vous échapper. Ne vous faites pas avoir en achetant ce navet, car Thibou refusera catégoriquement d’exposer un faux dans sa galerie. Avec cette astuce simple, vous dénicherez la vraie toile royale à coup sûr !
Où et comment obtenir cette œuvre d’art ?
Pour espérer accrocher la splendide toile royale dans votre musée, une seule option s’offre à vous : traiter avec l’incontournable Rounard. Ce marchand ambulant est le seul fournisseur d’art dans ACNH, mais la prudence est de mise. Contrairement au bienveillant et légendaire renard Inari que j’admire tant, Rounard est un filou qui n’hésitera jamais à vous vendre du faux.
La méthode traditionnelle pour le débusquer consiste à surveiller la plage secrète au nord de votre île. C’est là que le Rounarama, le bateau douteux de Rounard, jette l’ancre de manière aléatoire. Une fois à bord, il vous propose une sélection de quatre œuvres. Avec un peu de chance, la fameuse toile royale y sera disponible. Cependant, gardez l’œil ouvert, car il glisse souvent une contrefaçon dans le lot. Il n’est malheureusement pas rare qu’il ne propose que des arnaques lors de sa visite, ce qui est rageant !
Heureusement, depuis la mise à jour 2.0, vous pouvez forcer le destin sur l’Île de Joe. En investissant quelques clochettes, vous installerez la caravane du renard de façon permanente. Dans cette petite boutique, il expose deux œuvres par semaine. C’est une excellente opportunité pour tenter d’acheter la toile royale sans attendre le bateau. Le stock change chaque lundi, mais petite astuce : si vous achetez une contrefaçon (ou une vraie), il la remplacera le lendemain par une nouveauté.
Attention aux détails avant de sortir les billets ! Notre vendeur est passé maître dans l’art de l’esbroufe. Une toile royale authentique ne doit présenter aucune anomalie. Ne le laissez pas vous duper avec une vilaine copie qui serait refusée par Thibou. S’il vous sourit trop, c’est suspect ! Soyez patient, apprenez à repérer les défauts au premier coup d’œil, et ce tableau finira par rejoindre votre musée malgré les manigances.
Que faire de votre Toile royale une fois acquise ?
Vous avez enfin mis la main sur la célèbre toile royale lors du passage de Rounard ? Félicitations ! Maintenant, la première étape logique est de foncer tout droit vers le musée de votre île. Je vous conseille d’aller immédiatement parler à Thibou, notre chouette conservateur, pour qu’il examine votre précieuse acquisition. Si cette œuvre n’est pas une contrefaçon, il se fera une joie d’accepter votre donation pour enrichir la Galerie d’art.
Cependant, gardez à l’esprit que ce vendeur itinérant est rusé comme pas deux. Si vous avez malencontreusement récupéré un faux auprès de Rounard, Thibou refusera catégoriquement de l’exposer dans les allées du musée. Il n’y a pas de place pour l’imitation dans une institution culturelle ! Dans ce cas de figure, impossible de faire don de cette toile royale, et vous vous retrouverez avec une copie sans valeur.
Mais alors, que faire si votre musée possède déjà l’original ? Une toile royale authentique constitue une décoration murale sublime pour donner un cachet « Renaissance » à votre maison. Autrement, contrairement à un faux, l’original peut être revendu à la Boutique Nook contre un joli paquet de clochettes. En résumé, que ce soit pour compléter le musée, décorer ou vendre, tout dépend de l’authenticité de votre tableau.
Aïe, j’ai acheté une fausse Toile royale : les solutions
Vous pensiez tenir un chef-d’œuvre, mais ce sacré Rounard vous a encore vendu un faux ? C’est la douche froide lorsque Thibou refuse catégoriquement cette Toile royale à l’entrée du musée. Il repère immédiatement chaque contrefaçon et n’acceptera jamais une copie dans sa galerie. Le vrai problème avec ce type d’objet, c’est que même Méli et Mélo ne rachètent pas l’art frauduleux. Pour eux, un navet est un navet, point final. Vous voilà donc bloqué avec cette arnaque sur les bras.
Alors, comment se débarrasser de cette fausse Toile royale si le musée la rejette ? Puisque la boutique ne reprend pas la camelote de Rounard, voici mes options pour gérer la situation :
- La poubelle : Jetez simplement l’objet dans une poubelle (mobilier). C’est radical pour éliminer une contrefaçon encombrante.
- Le cadeau douteux : Envoyez ce tableau par la poste à un voisin. C’est assez drôle d’offrir un faux, même si c’est une vilaine copie signée Rounard.
- La décoration : Gardez l’œuvre chez vous (ou dehors). Une contrefaçon reste décorative, même si c’est une fausse Toile royale.
En résumé, méfiez-vous de Rounard et de chaque tableau qu’il propose. Un faux reste un faux, et accumuler les arnaques ne vous aidera pas à compléter le musée !
Optimiser votre collection d’art : mes astuces de joueuse
Compléter l’aile artistique du musée sur Nintendo Switch demande une sacrée dose de patience face à ce filou de Rounard. Ce renard est insaisissable ! On l’attend des semaines, et quand il daigne enfin accoster, c’est parfois pour nous proposer une copie, puis une autre… Frustrant, non ? Pour ne plus vous faire avoir et éviter chaque contrefaçon, j’ai développé quelques stratégies pour étoffer votre collection.
- Forcez le destin chez Joe : Installez la caravane de Rounard sur l’île de Joe dès que possible. S’il n’expose que du faux, achetez quand même une contrefaçon le jour même ! Cela oblige le marchand à remplacer l’œuvre le lendemain. C’est radical pour faire tourner le stock et espérer tomber sur une toile royale authentique.
- Doublez vos achats : La vente est limitée à une œuvre par personne. Créez un second profil de joueur pour rafler une deuxième pièce si Rounard propose deux merveilles (et pas un faux !) pour votre galerie.
- Misez sur le multijoueur : Le bateau est vide ou douteux chez vous ? Allez voir Rounard sur les îles de vos amis ! Les échanges restent la clé pour remplir le musée sans attendre le retour aléatoire du renard.
Si vous cherchez d’autres conseils pour pimenter vos parties, n’hésitez pas à parcourir notre section jeux vidéo pour plus d’astuces !
Questions fréquentes sur la Toile royale
Comment distinguer à coup sûr la vraie Toile royale de la contrefaçon chez Rounard ?
Pour ne pas vous faire avoir, concentrez votre attention sur l’animal tenu par la dame. C’est le détail qui tue pour repérer un faux tableau : regardez bien les couleurs et la forme de la bestiole avant de sortir vos clochettes. Si elle est bizarre, fuyez !
L’hermine tenue par la dame doit-elle être blanche ou grise pour que la Toile royale soit authentique ?
Elle doit absolument être d’un blanc pur. Si l’animal est grisâtre ou possède des cercles noirs autour des yeux (ressemblant étrangement à un raton laveur), c’est un faux grossier que le renard tente de vous refourguer.
Que faire d’une fausse Toile royale si on l’a achetée par erreur ?
C’est frustrant, mais Méli et Mélo refusent d’acheter du faux art. Votre seule option est de jeter la toile dans une poubelle (un objet mobilier) ou de l’envoyer par la poste à un habitant que vous n’aimez pas trop, pour vous en débarrasser discrètement.
Comment débloquer la galerie d’art du musée pour pouvoir faire expertiser la Toile royale par Thibou ?
Il suffit de faire 60 donations (insectes, poissons, fossiles) au musée. Thibou mentionnera alors son envie d’agrandir les lieux. C’est une étape indispensable pour qu’il accepte d’examiner vos œuvres et déterminer s’il s’agit d’un original ou d’un faux.